Aux auteurs, aux autrices

Livres, eux, moi, nous. Il y a des livres tu sais, qui me transpercent le cœur.Parce qu'ils sont grands, forts, puissants. Parce qu'ils disent très haut ce que je pense très bas, ce que je suis, mes recoins, mes contours. Que je n'ai pas appris à aimer. Que j'apprends déjà à voir, leur donner le... Lire la Suite →

Lettre à toi qui m’as aimée

C'était avant le bac, ça c'est sûr. Mais quand exactement ? Je ne m'en souviens plus. Je me souviens seulement du goût amer que ça m'a laissé. On parle toujours des premières amours, des premiers crushs, du cœur en papillon et des frémissements affolés du ventre. On parle des odeurs enivrantes de leurs cheveux, leurs... Lire la Suite →

Plongée teenage

Bientôt 4h du matin et je ne dors pas. Ça grouille sous ma peau, demande à sortir. Prisonnière de ma propre écriture qui ne veut plus des songes. Out of control. J'observe ma peau, y suit le contour des veines. Me demande si derrière tout ceci ne se cache pas quelque chose d'enfoui. De profond.... Lire la Suite →

Soirée lunaire

Décalage. Toujours en décalage. J'écoute, je sens, je touche mais je ne suis pas là. Je suis un fantôme qui traverse le temps, l'espace et je papillonne à la recherche d'une lumière. La mienne est loin. Ma poitrine se tord de le revoir. Comme si respirer sans lui était devenu difficile. Impossible. Dépendance. Alors je... Lire la Suite →

Lonely night lights

Tu sais, parfois, le soleil s'estompe dans l'horizon, il n'y a plus rien que le silence. Le silence comme un geste ou un cri. Parfois il n'y a plus que les nuits froides et tristes d'un été solitaire. Tu distingues des rires qui te semblent familiers, des lumières venues d'un bar où la musique explose... Lire la Suite →

Trop Humaine : une nouvelle d’anticipation

Dans le cadre de mon Master on a dû faire un exercice vraiment sympathique : écrire une nouvelle de science-fiction. Pas dans n'importe quel cours, mais celui de révolution numérique avec un certain Stéphane Amiard, et quand celui-ci cite René Barjavel, Pierre Bordage (que tu as rencontré en vrai et à qui tu as tapé... Lire la Suite →

Le soir, la nuit, la fête

Le soir, la nuit, y a comme un truc. Il y a des cris dehors. Des cris qui fusent, d'un coup libérés. Des cris de jeunes un peu bourrés. Des cris qui disent qu'ils ont oublié. Oublié le monde, oublié les peurs. Des cris qui disent que la tension s'en est allé. D'un coup. Les... Lire la Suite →

Souvenirs-fantômes

Souvenirs-fantômes Une rose écarlate dans un jardin d'ombre et de feuillage en feuillage en feuillage le coeur dégringole. Des tables d'enfants qui sentent l'école, et le parfum des femmes aux seins trop lourds, et de loin en loin toujours les pleurs de ce saule qui balance ses bras. Sur le bitume. Tellement bas Que l'on... Lire la Suite →

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